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| Abstract The mass-luminosity coordinates for the Jovian
      planets are found to lie along the lower main sequence stellar
      mass-luminosity relation, suggesting that both planets and red
      dwarf stars are powered by a similar non-nuclear source of energy.
      These findings support a prediction of subquantum kinetics that
      celestial bodies produce "genic" energy due to non-Doppler
      blueshifting of their photons at a rate that depends on the value
      of their ambient gravity potential. Genic energy also accounts
      for 40% of the Moon's thermal flux, all the Earth's core heat
      flux, and over half of the Sun's luminosity, thereby resolving
      the mystery of the Sun's low neutrino flux. The upward bend in
      the mass-luminosity relation and inflection in the luminosity
      function at 0.45 M | 
| Key words: energy conservation violations, planets, stars, white dwarfs, mass-luminosity relation, luminosity function, genic energy, fusion energy, solar neutrino problem, supernovae, galactic core explosions, cosmological redshift, subquantum kinetics | 
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 Resume Les coordonnées masse-luminosité
      pour les planètes de Jupiter se trouvent le long de la
      relation inférieure de la succession stellaire principale
      masse-luminosité, qui suggère que les planètes
      et les étoiles naines rouges sont actionnées par
      un source semblable d'énergie non-nucléaire. Ces
      découvertes confirment une prévision de la cinétique
      subquantique que les corps célestes produisent de l'énergie
      "genique" à cause du déplacement non-Doppler
      vers le bleu des photons à un taux qui dépend de
      la valeur du potentiel gravitationnel local. L'énergie
      genique rend compte aussi de 40% du flux thermal de la lune,
      de tout le flux thermal intérieur de la terre, et pour
      plus de la moitié de la luminosité du soleil, ce
      qui resout le mystère du flux fiable des neutrinos solaires.
      La courbure ascendante dans la masse-luminosité relation
      et la inflexion de la fonction de luminosité à
      0.45 M |